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mercredi, 08 février 2017

Sonnet en émoticônes IX

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Le vétilleux exemplaire de McSorley.

Ce matin, Laurent Évrard m'apprend qu'il va organiser dans quelque temps une rencontre autour de Joseph Mitchell, écrivain américain des années 30 à 60 qui n'était pour moi, qu'à peine un nom. L'occasion en est la publication de la traduction (doublement posthume) de Bernard Hoepffner aux éditions Diaphanes (Le merveilleux saloon de McSorley), mais aussi de Street life aux éditions 33 morceaux (traduction F. Tizon).

Une rapide recherche afin de tenter de me procurer McSorley's Wonderful Saloon me révèle que

1. Le livre est disponible en français, en allemand et en néerlandais, mais il est épuisé en anglais (au prix de 53,71 € pour l'exemplaire  d'occasion le plus abordable ).

2. L'édition de langue anglaise ne se trouve, d'après le SUDOC, dans aucune des bibliothèques universitaires et de recherche de France.  (À l'exception de quelques livres obscurs d'auteurs africains que j'affectionne, je n'avais jamais vu ça.) Donc pas possible de la faire venir au moyen du prêt entre bibliothèques.

4114 — Rondel 21, sur un abus de langouste

Cet imprudent de Germondy

Reprend trois fois de la langouste.

Les Zebda chantaient Ouste, Douste !

“On” était jeune, comme on dit.

 

Esquisser le dos arrondi

Avant de se prendre une rouste :

Cet imprudent de Germondy

Reprend trois fois de la langouste.

 

En ce temps-là, Pierre Mondy

Était sur les murs. Le Monde y

Consacrait rien, ni au chibouste.

Il furetait comme mangouste,

Cet imprudent de Germondy !

 

 

06:32 Publié dans Rondels | Lien permanent | Commentaires (3)