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samedi, 16 mars 2024

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Réveillé plutôt tôt ce matin, à 7 h 30, si on considère que m’étant couché à presque 1 h du matin (ah, les compétitions de ping-pong), j’aurais eu besoin de davantage de sommeil. Toutefois, je suis moins enrhumé depuis hier soir : l’effet miraculeux de l’adrénaline pongiste ?

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Ce week-end, outre les diverses autres menues (ou pas si menues) tâches, je veux boucler la traduction : 3 pages de remerciements et… 800 notes de bas de page… Bien sûr, il est 10 h du matin et je n’ai pas commencé… — Qu’ai-je donc fait ?

 

—— Eh bien, lessive, aspirateur, etc. —— Mais surtout : découverte, grâce à Camille Bloomfield, du poète nuyoricain Urayoan Noel, et des poèmes alphabétiques de son recueil de 2015. Et aussi : deux mèmes idiots. Et encore : abonnement à la revue Fragments, cahiers de littérature prolétarienne. Et même : partage d’un dessin de Gary Larson, et vérification de l’étymologie de l’expression “close, but no cigar”… Et enfin : je veux rattraper le retard dans ces carnets.

 

Entre ça et le Tournoi des Six Nations cet après-midi, ça sent la journée peu productive…

 

10:02 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 14 mars 2024

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Une heure avant le début de la journée d'études Le Web des poète·sses (à l'invitation de Marie-Anaïs Guégan et de son équipe), j'ai fait une petite vidéo dans ma chambre d'hôtel.

 

 

Je crois que le son est dégueulasse. Ou alors c'est mon ordi qui, après réinstallation du disque dur, a un son dégueulasse...?

 

mercredi, 13 mars 2024

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Je ne suis jamais allé à Naples ou à Mexico City, mais, supposant

qu'il y a au moins 2 ou 3 rues à peu près calmes dans ces deux

villes, peut-on se mettre d'accord pour dire que Lyon est la ville la

plus bruyante et la plus fatigante du monde ?

 

Pour précision, cette phrase, postée sur Facebook, a valu un déferlement – à la modeste échelle de mon peu déferlant compte Facebook – de commentaires. Que les choses soient claires : c’est peut-être hyperbolique, mais à peine. À chaque fois que je me rends à Lyon, je suis rappé par la saleté et le bruit. Il n’y a pas une rue où on puisse échapper aux bagnoles. Par ailleurs, je ne trouve pas cette ville très belle ni très attachante. Les ponts sur le Rhône sont trop californiens, et les ponts sur la Saône forment un paysage d’ensemble sans charme. Lyon, c’est Paris en plus bruyant et surtout en pas beau. Change my mind.

 

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lundi, 11 mars 2024

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Épuisé… à quoi servent les vacances… à travailler.

Hier soir, j’ai fini de traduire le chapitre 37. Il me reste les dix pages du chapitre 38, les 9 pages d’épilogue et de remerciements, et surtout les 50 pages de notes (qui seront très mécaniques – j’ai gardé pour la fin toutes les notes de pures références bibliographiques).

 

Certes, le deadline est… aujourd’hui. Mais l’éditrice m’a dit qu’il n’y avait aucun problème pour m’accorder une semaine, voire davantage. Toutefois j’aimerais désormais en être débarrassé le plus vite possible. J’espère pouvoir faire des relectures dans le train mercredi et jeudi.

 

08:20 Publié dans 2024, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 10 mars 2024

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Commencé de lire Littérature et révolution, entretien en trois parties entre Kaoutar Harchi et Joseph Andras. Andras, dont j’ai bien aimé deux livres au moins, a tendance à être assez poseur, assez mascu finalement. Harchi, que je ne connais que via les réseaux sociaux, propose les argumentations et les analyses les plus intéressantes. Le dialogue, en tout cas, est très fertile.  

 

samedi, 09 mars 2024

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Enrhumé, courbaturé… hier, perdu très largement, comme prévu, mes trois matches, les premiers ever en compétition officielle de tennis de table. J’ai des centaines de choses à apprendre pour pouvoir espérer gagner.

 

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vendredi, 08 mars 2024

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Même si j’ai un peu tenu mes carnets de 2024 à Cagnotte, j’ai presque six jours de retard, que je vais éponger en trichant grâce à Facebook, comme souvent. J’ai à nouveau la gorge (très) prise, mais, depuis 6 h 15 – heure à laquelle je me suis levé – je n’ai pas arrêté : après quelques bricoles de boulot, j’ai traduit ma ration quotidienne de dix pages de sorte que je vais pouvoir avancer sur celle de demain, à moins que j’essaie de faire une petite siestouze (vazyléon).

 

12:22 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 07 mars 2024

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Quand tu avais déjà eu une idée de traduction le 27 février, deux jours avant de partir en “vacances”, mais que, ne t'en souvenant pas, tu as retraduit le titre le 1er mars... différemment...

(Le titre original : « PEOPLE SCATTERED, A CONTINENT DRAINED ».)

mercredi, 06 mars 2024

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De retour à Tours immense plaisir de trouver dans la boite aux lettres mes exemplaires. Ce livre, dont on a vu naître et se dessiner les contours sonnet après sonnet, il y a quelques années sur Facebook, quel bonheur de le découvrir, avec ses belles pages, sa typographie soignée... et les collages de Françoise Guichard, décidément douée de tous talents.

 

mardi, 05 mars 2024

Bayonne, 5 mars 2024

Bayonne, 5 mars 2024

lundi, 04 mars 2024

Luc Ferry, crac en géographie

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18:31 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 03 mars 2024

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Hier soir...

samedi, 02 mars 2024

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Levé à 6 h 25. Enfin écrit à L. V. à propos de nos premières esquisses de traduction du Sorcier. C’est un dossier auquel je n’ai presque pas de temps à consacrer en ce moment, et ça m’agace souverainement. Je mets l’adverbe en italiques car L. et moi ne sommes pas d’accord sur le terme à conserver pour traduire « the Ruler ».

 

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vendredi, 01 mars 2024

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Dix pages traduites, alors que je m’étais fixé un objectif moyen de 5 par jour pendant ces six journées landaises. Il m’en reste cent, mais ça commence à sentir l’écurie. Speaking of écurie, on a quand même pu faire deux promenades à pied, une avant le déjeuner (la Salamandre) et l’autre à l’heure du thé – toujours sans le prendre – jusqu’au Bassecq, où on a peut-être dit au revoir aux deux chevaux dont le pré se trouve du côté de Heugas : la maison vient d’être vendue, mais le propriétaire, ne pouvant les emmener avec lui, les donne à qui voudra.

Depuis que j’ai élaboré mon dossier de demande de congé sabbatique pour l’année prochaine (comme je l’ai dit à A. B., si j’obtiens un semestre, ce sera déjà grandiose), je ne cesse d’avoir de nouvelles idées de chapitres ou de pistes d’exploration. En lisant le petit livre que consacre Najate Zouggari à Angela Davis aux éditions Les Pérégrines, je me suis dit que je pourrais écrire un texte du même ordre pour tenter de faire un peu sortir Wangari Maathai du corset d’ignorance dans lequel elle est enfermée en France. Mais ce projet-là n’aurait aucun rapport, ni de près ni de loin, avec le projet échafaudé pour le CRCT. – Il y a aussi que cet opuscule m’a donné envie de lire méthodiquement tous les livres d’Angela Davis, à commencer par son autobiographie.

 

Soir : Sweet Valentine, film d’Emma Lucchini (2010). Pas mal, mais prise de son insupportable (dialogues inintelligibles, on n’entendait pas une réplique sur deux).

[Belote finalement gagnée par C* et moi, 1080 à 970.]

 

19:55 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 29 février 2024

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Une journée qui n’a lieu que tous les quatre ans, et aujourd’hui je n’ai guère eu le temps de me poser pour y penser, enchaînant presque sans pause ma matinée de cours et le voyage dans les Landes, où nous sommes arrivés à l’heure du thé – mais sans le prendre – et où nous avons trouvé mes parents en bonne forme. Le soir, nous avons regardé Envoyé spécial, et notamment l’enquête sur les nombreuses agressions sexuelles dont est accusé Gérard Miller.

 

22:50 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)

mercredi, 28 février 2024

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Hier, en tramway (ou était-ce le matin, en traversant le pont Wilson à pied*), je me suis dit que je pourrais écrire un texte au cours des seize jours de mon voyage en Afrique du Sud du 3 au 18 avril – un texte qui ne serait peut-être pas une chronique de cette mission (car c’est une « mission », terme étrange qu’il faudrait creuser) mais un fichier texte accompagnant le voyage, et qui me permettra, entre autres, de ne pas noyer ma famille et mes proches sous les messages WhatsApp. Comme j’ai enfin récupéré un ordinateur portable digne de ce nom – je ne crois pas l’avoir écrit dans ces carnets, mais P. Z., l’informaticien de la Faculté, a changé le disque dur, tout réinstallé, changé la batterie et le processeur (j’ai récupéré l’ordinateur mercredi dernier) – je vais pouvoir m’en servir sans avoir à chercher une prise de courant toutes les dix minutes. Le voyage va être assez intense : cinq jours à Durban, dont une conférence et des rendez-vous professionnels ; huit jours à Pietermaritzburg, dont douze heures de cours et des réunions etc. On verra bien.

 

* Depuis une semaine, je n’ai pas repris le vélo. Hier, C* m’a posé au bas de la Tranchée, et le soir je suis rentré en tramway.

 

06:04 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 27 février 2024

Daaaaaalí

De Daaaaaalí, la réplique qui me reste le plus, par-delà rodomontades et gags hilarants*, est celle de Judith, la journaliste interprétée par Anaïs Demoustier, disant à Dalí** « mais je crois en vous, moi, je ne suis pas comme les autres ».

 

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Cette réplique invite à comprendre tout le film de façon littérale, à savoir que les acteurs ne jouent pas « le vrai » Salvador Dalí, mais des sosies ou imposteurs. En effet, le film représente ce que l'on sait du « vrai » Dalí avec un certain degré de réalisme (histrionisme, formules choquantes mais creuses, conscience de la médiocrité de sa peinture) mais ce Dalí du film fonctionne aussi sur un autre plan : personne ne le prend au sérieux. Le producteur, le caméraman, l'évêque etc. ont l'air de le traiter comme un excentrique de second ordre.

Plus que la mise en abyme vertigineuse et la concomitance de plans temporels théoriquement distincts (en double hommage à la peinture de Dalí), c'est la dissociation de la personne de Dalí et de sa figure, de sa figuration, qui est le véritable sujet du film.

 

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* Le film est sans doute le plus drôle de Dupieux, en grande partie grâce à Édouard Baer (ça me fait mal de l'écrire, mais bon).

** Vu que je me suis cassé l'os à aller copier-coller le í, vous êtes prié·es de commenter ce billet.

09:42 Publié dans 2024, Tographe | Lien permanent | Commentaires (2)

lundi, 26 février 2024

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Réveillé, sans doute par un cauchemar, que je ne me rappelle pas du tout. Du coup, levé à 5 h 35, ai éclusé une partie du travail en rade, dont les 9 fiches d’évaluation orale des L3 ; pour l’une d’entre elles, j’ai dû aller copier-coller pas moins de 35 prononciations dans l’OED, en hiérarchisant ensuite les types d’erreur dans la fiche — j’espère que l’étudiante va regarder ça de près et travailler ces mots en particulier, et, plus généralement, le placement accentuel.

 

07:36 Publié dans 2024, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 25 février 2024

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Couché tard, et levé tôt quand même.

6 pages traduites le matin, avant d’aller à la boulangerie. Le soir, je lis Faire trace de Maxime Decout, commencé avant-hier.

Cet après-midi je ne m’y suis pas remis, trop content de passer trois heures, après le repas, à discuter avec A*, qui repartait à Rennes en milieu d’après-midi.

 

18:00 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)

samedi, 24 février 2024

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Pris par la traduction et par tant d’autres bricoles (ou pas bricoles) de boulot, je laisse dériver le recensement systématique des livres lus.

Ça m’énerve.

Et surtout ça ne m’empêche pas de regarder les matches du tournoi des Six Nations.

 

18:00 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 23 février 2024

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Pas pu traduire hier, comme c’était prévu, d’ailleurs. Bonne séance de séminaire sur An Ordinary Wonder le matin, mais il en faudra une seconde jeudi prochain. Ce roman est tout de même très finement écrit, dans les détails.

Encore réveillé à 4 h, mais il faut dire que j’ai dû tomber de sommeil avant même 10 h du soir, je crois. —— Ce matin, C* se rend aux obsèques d’Y* avec nos premiers voisins, car je ne peux déplacer mon cours de L3.

 

04:52 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 22 février 2024

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Du mal à m’endormir (toujours à cause des restes de pharyngite), et réveillé très tôt (4 h peut-être (j’ai fini par me lever à 5 h)), nez pris par la sinusite ; cela fait deux mois ; j’en ai marre. Je vois la docteure aujourd’hui, pour qu’elle interprète le scanner d’hier (polypes ?). Pas à me plaindre : je me sens en forme et plutôt plein d’énergie (même si là, j’aurais aimé une nuit moins courte).

 

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Par ailleurs, j’ai un peu de retard sur tous les fronts, et par exemple, même si c’est sans importance, dans ces carnets. J’ai même, ce matin, à la hâte, rempli les six dernières journées du carnet manuscrit. Malgré le travail je réussis à lire un peu (hier soir, 70 pages de l’essai de Didi-Huberman sur l’Arbeitsjournal de Brecht), et j’ai déposé dans les temps mon premier dossier de CRCT. Je crains de ne même pas obtenir un semestre.

 

Sinon, il me reste 140 pages à traduire avant le 31 mars, et alors que je vais intervenir dans deux séminaires, à Lyon et à Tours, en mars justement. Vu que je réussis à traduire 10-12 pages les « bons jours » ça a l’air simple… sauf que j’ai rarement plus de deux jours par semaine à consacrer à cette activité. Un coup de collier sur les dix jours de « vacances » s’impose. — Il y a aussi que je n’ai pas, dans ce décompte, inclus toutes les notes de bas de page, laissées en blanc pour le moment. Or, j’ai créé hier, dans le chapitre 27, le 300e appel de note. Miam !

06:18 Publié dans 2024, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 18 février 2024

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Il y a quelques jours, peu avant d’apprendre la mort soudaine d’Y*, notre voisine, je repensais que c’était il y a quatre ans que nous avions aperçu un renard sur notre terrasse, à l’heure du déjeuner – un renard qui nous avait fixés de son regard splendide, avant de se carapater. C’était un mois avant le confinement.

Et ce matin, en ouvrant le volet de la cuisine, je repensais, je ne sais pourquoi, que, à cette même époque, il y a trente ans, je me rendais, un mercredi matin sur deux, très tôt (7 h ?), à un laboratoire d’analyses de Talence pour y faire les prises de sang garantissant que mon traitement contre l’acné n’avait pas trop de conséquences sur mon organisme. Le mercredi matin, c’était le jour où je séchais les cours de philo du foldingue (à ma seconde khâgne j’avais décidé d’aller à l’essentiel) et où j’allais parfois suivre les cours de la licence d’anglais (comme s’appelait alors la troisième année, après le DEUG), et ce quoique je fusse inscrit au télé-enseignement. Quand j’y repense, je ne sais même pas avec quelle énergie j’ai obtenu la même année le concours de Normale Sup’ et la licence (en passant certaines épreuves à la session de septembre).

 

08:14 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)

samedi, 17 février 2024

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Pour cette Journée Portes ouvertes, nous n’étions pas – pour la première fois depuis près de vingt ans – en salle 32, mais en salle 12. Elle est plutôt plus agréable, même si le volume sonore, quand nous étions huit ou neuf simultanément à renseigner des lycéen·nes, était un peu pénible. Or, ça n’a presque pas désempli, même aux heures habituelles de désert (entre midi et deux et après 16 h). Les étudiant·es présent·es étaient super (comme toujours).

 

19:14 Publié dans 2024, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 16 février 2024

War Dances

War Dances (16022024)

Recueil de nouvelles et de poèmes acheté presque par hasard au Bibliovore, il y a dix jours.

On retrouve l’ironie mordante de Sherman Alexie, le côté faussement je-m’en-foutiste de son écriture, sa manière très directe de parler des « grands sujets » de la société américaine contemporaine. À noter : ‘Invisible Dog on a Leash’, ‘Big Bang Theory’, ‘Salt’.

jeudi, 15 février 2024

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Après-midi passée à régler des paperasses, pénible ; frustration de n’avoir pas pu traduire.

 

Et le soir, surtout, nous avons appris la mort, soudaine, de notre voisine, Y*. Cela va colorer toutes les journées à venir, je le sais. Nous ne connaissons pas si bien que cela nos voisins, mais elle, depuis quinze ans, nous avons eu le temps de l’apprécier, beaucoup même.

21:13 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)