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mardi, 07 avril 2020

Chambres

Didier Goux me fait remarquer qu'il n'est toujours pas possible de mettre en italiques, ou en gras, dans les commentaires du blog. Déjà, en 2005, cela semblait rudimentaire, alors maintenant... Cela dit, l'immense majorité des gens qui écrivent sur Facebook ou Twitter s'accommodent de ne pas pouvoir justifier ni policer leurs textes sur ces sites-là. J'ai découvert très récemment comment créer des italiques e tutti quanti sur Facebook. Sur Twitter, cela reste impossible, je crois. Bref, tout ça pour dire que je testerai un subterfuge tout à l'heure et que je vous en dirai des nouvelles. (Voir infra, en commentaires, si j'y suis parvenu.)

 

En tout cas, le quotidien enchaîne. Après sa vidéo sur A Room of One's Own, Azélie Fayolle a publié dimanche une vidéo très juste et très fine, assez essai à la Montaigne, sur le confinement.

Les éboueurs ne sont pas passés hier, la Poste non plus. Le soleil revient, après 24 heures de pluie pas toujours fine. Il y a des trucs de boulot auxquels je n'arrive pas à me mettre, alors je procrastine, en enregistrant des vidéos, en traduisant de l'allemand, nawak total.

 

Hier soir : Dixième chambre de Depardon. Peut-être celui des 3 films sur le système policier/pénal qui est le plus dérangeant du fait de son montage : on ne sait jamais vraiment quel est le contexte, et surtout l'institution judiciaire est loin d'y montrer son meilleur visage. Le meilleur est le premier, Faits divers : j'ai beau ne pas aimer les flics, c'est là qu'on voit que, sur toute la chaîne, c'est eux qui font le travail le plus dur, dans tous les sens du terme.

 

10:49 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (4)