vendredi, 02 mai 2008
Rue du Docteur Blanche
Une place payante libre, une boîte à lettres qui fait aussi office de réveille-matin, une envolée de fenêtres, un appareil photographique que l'on n'a pas réussi à dissimuler, et des automobiles minuscules.
Le soir même, après la dure journée de labeur, s'affaler devant l'avant-première de Wonderful Town (un film thaïlandais mièvre, très décevant).
Métro, boulot, même pas dodo : odeurs de suie, d'essence, et surtout la cacophonie permanente. Au moins, ce matin-là, c'était le désert.
06:59 Publié dans Autoportraiture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris, autoportrait, intime