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jeudi, 11 novembre 2010

Hat & Beard *

Onze heures, matin. Oméga danse sur la "Rêverie de l'enfance de Pantagruel" ; Alpha, sur le canapé, lit le tome 2 de Gai-Luron. Ai-je pu lire les deux premiers chapitres du roman de Herta Müller. C. assistant aux commémorations, à la mairie de Tours, un vrai temps d'armistice (pluie glaciale et vent).

Six heures du soir. "De la présomption" (II, 17). C. me fait remarquer que la narratrice du Premier mot (de Vassilis Alexakis) n'a pas de nom ; j'ai lu le roman in extenso, l'ai plutôt aimé - ne m'en étais pas du tout rendu compte.

* Vienna Art Orchestra.

Commentaires

Pour mémoire. 18 novembre, à Tours, rencontre avec Vassilis Alexakis : il signale que de nombreux lecteurs ne se sont pas aperçus que la narratrice n'avait pas de nom. (Pourquoi ? Tête de la Dame à la capuche sans bouche = narratrice sans nom ? Muet = mot = mutum ?)

Oui, je m'autocommente. On n'est jamais si bien servi...

Écrit par : Touraine sereine | dimanche, 21 novembre 2010

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