mardi, 18 juin 2013
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Il m’est difficile de le dire – car, vers huit ans, je fus embringué par ma sœur dans une réécriture très brève et futile de L’Avare (que nous avions vu en film, dans la version avec Louis de Funès) – mais je crois que le premier Molière que j’ai lu n’est autre que Les Fâcheux. Je revois fort nettement le petit livre, une sorte de clone approximatif (brun ou sépia) des vieux Classiques Larousse, et me revois lire cette pièce, en n’en comprenant que très partiellement le langage, la situation et l’enjeu, dans la maison de mes grands-parents, à Saint-Pierre-du-Mont.
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17:28 Publié dans À neuf les terres inondées | Lien permanent | Commentaires (0)
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