vendredi, 25 juillet 2025
25072025
Hier, Claire et moi avons fait une jolie randonnée dans les forêts, et un peu entre les chemins de vignes de Bourgueil. En théorie, la promenade ne devait être longue que de huit kilomètres, mais comme nous avons suivi les marquages jaunes (or, très étrangement, il ne fallait pas, mais il faut dire que l'itinéraire provenait du syndicat d'initiative local, fortement appuyé par les vignerons), ça a un peu rallongé la sauce et nous nous sommes retrouvés à rentrer à Bourgueil par la route de Courléon, quasiment déserte.
Douze kilomètres en tout.
Au passage nous avons découvert le Moulin bleu, étrangement apité sur un minuscule cône en tuffeau et un mini-tumulus, ainsi que l’immense propriété située juste en-dessous, qui est constituée de trois bâtiments principaux, dont l’un est en partie décrépit et dont un autre – situé de l’autre côté de la petite route – menace ruine au point que ce passage est interdit à la circulation.
Dans la forêt de pins, nous avons entendu un pic épeiche, quelques buses, et c’est à peu près tout.
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Aujourd’hui, j’ai valsé entre menus travaux – les chantiers avancent, malgré tout – et léthargie, surtout entre 14 h et 16 h. À dix heures et demie du soir, au moment de fermer les volets, un immense nuage noir envahissait le ciel, à l’ouest. Fini de lire Fleurs de nuit, commencé l’essai de Debaene et le recueil de nouvelles de Manzu Islam traduit par J.-B. Naudy.
22:23 Publié dans 2025, Sites et lieux d'Indre-et-Loire, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (0)