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lundi, 22 décembre 2025

22122025

La dernière décade de 2025 a commencé. Parmi les projets bizarroïdes – et rapidement avortés – de ces carnets, il y avait eu cette tentative de découper l’année civile en 36 décades et demie. Ça me passera avant que ça me reprenne. (Dixit le schizo in me.)

 

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Hier, pour la première fois, promenade du côté du nouveau quartier ; on peut difficilement nommer autrement ce dont on pourrait dire sinon qu’il s’agit de « nouvelles résidences », étant donné que c’est un ensemble d’une dizaine de petits immeubles, d’un parking, de plusieurs parkings à vélo, et que d’autres bâtiments encore sont en train de sortir de terre, le tout avec rues goudronnées, trottoirs, pistes cyclables. Les logements sociaux sont déjà occupés, depuis déjà quelques mois, et nous avons donc emprunté, à pied, la nouvelle rue qu’on voyait en passant depuis la rue Marie et Pierre Curie.

 

Nous avons ainsi découvert que cette rue a été nommée en l’honneur d’Ada Lovelace. Il me semblait que Françoise Guichard avait écrit, dans son Efemméride des Sciences, un sonnet aussi en l’honneur de cette précurseuse de l’informatique, mais en fait non, c’est plutôt Mary Sommerville, la mentoresse d’icelle, qu’elle avait mise en coupe réglée.

 

Entre Emezi, Otoo, Nabokov et – donc, pour les personnes ayant réellement existé – Lovelace, il y aurait de quoi concocter un joli projet, mais bon : ça lui passera avant que ça te reprenne.

 

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