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samedi, 06 décembre 2025

06122025

Aujourd’hui, clic clac clic clac clic-clac-clique, c’est la saint Nicolas, et il faut presque se forcer pour ne pas parler travail, talk shop, dans ces carnets. Pour dire quoi ? qu’on a commencé avant-hier une série américaine d’une mollesse et d’une médiocrité scénaristique totales (The Beast in Me, passez votre chemin) ? Qu’une étudiante hier matin, avant le début du cours, racontait à ses potes qu’elle s’était endormie la veille à 11 h « pour une petite sieste » et qu’elle s’était réveillée sept heures plus tard (ceci pour expliquer qu’elle ne s’était pas endormie avant 3 h du matin) ? Ou que j’ai enfin vu, en faisant le tour complet de la place des Halles – et en découvrant quelques menus changements car c’est tout près de la faculté mais je n’y vais jamais –, la permanence de ce guignol dangereux d’Alfandari, lequel était tout seul à l’intérieur en train de pianoter sur son ordinateur ?

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La « place des Halles » s’appelle place Gaston-Paillhou, de même que la « place du Monstre » se nomme place du Grand-Marché.

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Paillhou s’écrit bien avec deux l suivis d’un h, et on en apprend davantage à son sujet grâce à un article d’Ici Touraine (anciennement France Bleu) remarquablement écrit et à la syntaxe tout à fait stupéfiante :

Un autre nom bien connu des tourangeaux est associé à l’hôpital Clocheville : celui de Gaston Paillhou (la place voisine porte son nom). Cet ami d’enfance de Gatien de Clocheville, devenu fils adoptif de la comtesse pauline de Clocheville, sera son délégataire et poursuivra son œuvre en développant l’hôpital. Sa mort, lui aussi fera don de biens immobiliers au bénéfice de l’hospice, permettant son expansion.

 

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