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jeudi, 17 janvier 2008

Eisleriana

Depuis un mois et demi, je ne cesse de tourner autour des Quatorze manières de décrire la pluie de Hanns Eisler. Cet art qui consiste à partir d'une conception illustrative/référentielle/descriptive de la musique pour mieux s'affranchir des conventions mêmes d'une telle conception, c'est ce que l'on retrouve, du point de vue du langage, dans la poésie japonaise contemporaine, et sans doute aussi, quoique dans une moindre mesure, dans l'"école" américaine des L=A=N=G=U=A=G=E poets. Cela revient à démettre en images, en quelque sorte (ce que, dans un article de 2003 paru très récemment, j'avais nommé le dé-scriptif).

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