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jeudi, 20 juin 2013

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Peut-être que je confonds tout, mais, si j’ai bien lu cette pièce à l’âge de huit ou neuf ans, c’est dans la foulée que j’ai joué moi-même des pièces inventées on the spot, toujours improvisées en alexandrins. (Très impressionné, au sens photographique du terme, par les films que l’on regardait en famille par la grâce du magnétoscope Betamax, je découpais aussi les journées les plus banals, dimanches dehors ou mercredis pluvieux, en séquences cinématographiques.) — J’ai le souvenir très précis d’avoir, là encore vers huit ou neuf, ans, tapé à la machine à écrire (la petite Lettera 32 que mon père nous avait prêtés, ne se servant plus que d’un plus colossal appareil) quelques scènes en alexandrins d’une sorte de comédie sans queue ni tête. Seule véritable réminiscence, un des quatre cinq personnages se nommait Deffailles.

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