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mardi, 17 février 2015

Plus ça change...

De temps à autre, il faut que je note la forme que prend, à tel moment précis, ma tocade de lire x livres simultanément, et qui est d’autant plus absurde que, ces jours-ci, je ne peux absolument pas me le permettre. Ainsi, ayant commencé, il y a déjà quelque temps, Guerre & guerre, j’en ai interrompu la lecture pour d’autres plus urgentes, de sorte que je me retrouve avec, en train, les nouvelles de Lovecraft (dans lesquelles j’ai fini par me plonger à force de rester tout esbaudi devant The Lovecraft Monument), La Poésie du gérondif de Jean-Pierre Minaudier (un texte absolument dingue et délicieux, je le recommande très vivement), le dernier Mia Couto (La Confession de la lionne), mais aussi – parce que, hier, en partant pour le Conservatoire avec Oméga, j’avais oublié de faire suivre de quoi lire et, m’arrêtant devant notre boîte à lettres, me suis donc retrouvé avec ces deux ouvrages achetés d’occasion et tout fraîchement débarqués – The Forest Dwellers, le livre de Stella Brewer (qu’Alpha lit en français et que j’ai donc acheté en anglais) et celui, hilarant, de Stuart Maconie (Pies and Prejudice). Comment s’étonner que la pile ne diminue pas, mais aussi que la pile de livres lus à recenser ne diminue pas, mais encore que la liste des textes à écrire et encore non fertilisés ne diminue pas, et enfin (un enfin provisoire) que pas un commentaire ne soit venu donner un semblant de vie à mon autre blog depuis septembre 2014, alors que j’y ai publié, depuis, 53 billets ?