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mercredi, 13 mai 2015

Ping-pong, 8

Dix jours que je n'ai rien publié ici ; c'est toujours comme ça avec les voyages, surtout que la qualité des connexions n'est pas toujours terrible.

Pour meubler rétrospectivement les journées blanches, je vais aller piocher dans mes élucubrations facebookiennes. Et tiens, à propos de Facebook (je vous cause comme ça, familièrement, sans ambages), un point très négatif à porter au passif de la plateforme d'hébergement Haut&Fort (sur laquelle sont hébergés tous mes carnétoiles) : depuis quelques semaines, malgré des réactivations manuelles plusieurs fois tentées, le module qui permettait de signaler automatiquement sur mon mur FB toute publication planifiée de billet ne fonctionne plus, de sorte que les rares lecteurs que j'avais encore ici ou (ou et ) n'y viennent plus.

Je compte remettre un certain nombre de chantiers plus rigoureusement en route, d'autant que le dixième anniversaire de Touraine sereine approche à grands pas [ICI pour une idée de la mi-chemin]. Première pierre, je vais inaugurer une nouvelle épigraphe, directement copiée d'un commentaire dans un fil de discussion FB. Je ne le fais qu'à regret, car l'actuelle (actuelle pour moi qui écris ces lignes à 9 h 39, mais elle n'y est encore que pour quelques minutes)

« Les gardiennes de musée sont les vraies héroïnes kiéviennes. »

me plaît énormément. L'auteur en est Patrick Chartrain, lecteur, blogueur et esprit éclairé dont je salue ici la vivacité et la confiance chaleureuse.

 

(Pour les épigraphes, l'archive en a été mal tenue. Voir toutefois celle-ci et celle-là.)

09:45 Publié dans Ping-pong | Lien permanent | Commentaires (0)