mercredi, 20 avril 2016
Sans titre
Aujourd'hui, du mal à se garer.
De surcroît, on était un peu en retard.
Enfin, finalement, au Conservatoire, nous n'étions pas en retard.
La voiture, en fin de compte, je l'ai garée tout au bout du boulevard Heurteloup, et après avoir écrit deux ou trois mails et lu le premier chapitre d'Arrachez les bourgeons, tirez sur les enfants, suis parti promener : tout le long des deux boulevards, sur le paseo, jusqu'à la chapelle Saint-Éloi, puis, par quelques ruelles en zig-zag avant de revenir par le même chemin.
Au Conservatoire, avancé (un peu) dans ma lecture du premier récit de Das Gefängnis der Freiheit.
Laissé tomber mon smartphone comme un con sur le carrelage de la salle d'attente. Il n'est pas pété, il semble.
18:59 Publié dans Ce qui m'advient | Lien permanent | Commentaires (0)
Un sonnet. Les palombes —
Je n'en ai plus écrit
Depuis des plombes --
Un sonnet. Les palombes
Avec ce parti pris
Trillent de Tours à Paris.
Dans le piège tu tombes,
Vallons et combes :
La neige fond, le temps s'enfuit.
Déjà tu te sens libre
De ce nouveau déséquilibre.
Ton squelette rétamé
Prend son envol fragile ;
Le poème que tu as entamé
Rend la larme facile.
18:44 Publié dans Sonnets de janvier et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)