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vendredi, 26 août 2016

La chanson des callitricidés

26 août.

Levé très tôt, à cause des moustiques, de la chaleur et des miaulements de la chatte. Migré à l'étage, pour m'assurer de l'aération. Fini de lire Notes sur Balzac. Bien avancé Limite (et son carnet).

Dans la matinée, tâches ménagères. En étendant la lessive, inventé des paroles pour un très bel air espagnol que joue la Renaissance estangoise et dont je ne connais pas le titre. La chanson s'appelle “Le beau callitricidé”, et je suis certain qu'on tient un tube planétaire.

En tout cas, O*** l'a dans la tête depuis midi.

Le rendez-vous avec la gastro-entérologue ne donne rien, sinon qu'elle me fait faire d'autres analyses, et m'incite à ajouter la coloscopie à la fibroscopie. Je me tâte, si j'ose dire.

Passage à l'Université, bouillante. Salué quelques secrétaires, réglé des histoires de notes d'Australie et de Corée, & me suis cassé le nez à la B.U., fermée pour cause de canicule après 14 h et où je souhaitais rendre cinq livres (dont quatre, dois-je l'admettre, avaient été empruntés pour ma mère, qui les a lus). ▓▒░

Entre six et sept, après avoir échoué à trouver une vis de remplacement pour refixer le panneau de basket (...!), lecture sous les néfliers, mais au bord de l'assoupissement.

 

Impatience

« C'est bien une patience, mais elle est tellement facile qu'en toute justice il faudrait lui refuser ce titre. »

(phrase tirée du texte de Troyat que j'évoquais hier)

 

Dans mon exemplaire des Improvisations sur Rimbaud que je feuilletais hier, j'ai retrouvé une carte postale adressée le 14 juillet 2006 à mes parents et représentant la “chambre du pacha” au château de Coussac-Bonneval.