dimanche, 11 décembre 2016
Rondel 9 — L'hérésiarque
Foin des sympathies bohémiennes
Au centenaire de Victor
Hugo. Comme un alligator
Dénoue ses parties diluviennes,
Oui, il faudrait que tu contiennes
Ton fin sourire de butor.
Foin des sympathies bohémiennes
Au centenaire de Victor !
De Gand jusqu'aux Aléoutiennes
On entend ta voix de stentor
Résonner dans le transistor
Pour quels narvals, quelles juliennes !
Foin des sympathies bohémiennes.
10:13 Publié dans Rondels | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.