Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 22 février 2022

22022022

 

On entend le chant des merles, très tôt désormais, puis à 6 h le chantier – je ne sais où – reprend (bruits métalliques des bennes) et le chauffage démarre. Se lever, la nuit n’est pas trop courte.

Aujourd'hui, date palindrome.

Un mois ou presque sans écrire dans ces carnets ; je vais tenter de rédiger quelques « entrées » a posteriori.

 

06:37 Publié dans 2022 | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 21 février 2022

21022022

 

Reprise du travail, fatigué, le moral dans les chaussettes. En m’y remettant, dès 7 h du matin, dans mon bureau, puis en cours, je me suis « chauffé » et ça allait mieux. O*, fiévreux et épuisé suite à la 3e injection de Pfizer hier, a dû garder la chambre. Quand je suis rentré de ma journée de cours, à 16 h 30, il commençait à aller mieux. Nous avons même regardé le premier épisode de la deuxième saison d’OVNI(s) après avoir regardé, médusés, inquiets, une partie de l’allocution de Poutine et le décryptage dans l’émission Les Informés.

Ma grand-mère, que j’avais laissée vendredi, lors de ma visite à l’hôpital de Saint-Sever, dans un état d’apathie quasi totale, a l’air de bien se remettre : ma tante nous a envoyé encore aujourd’hui une photo d’elle, l’œil vif, petit sourire en coin, comme nous l’avions vue encore à Noël, disons, ou peut-être – les photos peuvent être trompeuses – comme nous avions pu passer deux heures avec elle mardi avant son probable AVC.

 

22:10 Publié dans 2022 | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 20 février 2022

20022022

 

J’avais du travail, et je n’ai pas foutu grand-chose : mauvaise humeur et mauvais moral de n’en avoir pas fait davantage. Dans l’après-midi, j’ai lu (mal) une quinzaine de pages de Ulysses afin d’avoir « de quoi dire » pour le troisième live Twitch de demain soir.

Le soir, j’ai terminé de lire Wunderland de Caitriona Lally, second roman de cette jeune autrice irlandaise, choisi presque par hasard sur les étagères d’Irish fiction de l’immense librairie Kennys Bookshop la semaine dernière : bonne pioche, car c’est à la fois drôle, grinçant et très dérangeant. C’est un roman très juste, je pense, sur ce que ça représente réellement, dans les détails, de vivre avec une personne gravement dépressive et suicidaire. C’est aussi un roman qui, dans la mesure où l’action se déroule à Hambourg, multiplie les jeux translinguistiques entre l’allemand et l’anglais, et dont le personnage masculin principal ne cesse d’imaginer, en anglais, de nouveaux noms collectifs, pas seulement pour les animaux. On l’aura compris, c’est le genre de roman que je lis avec une part de mon attention captée par l’hypothèse de la traduction.

Abyss dominical : gagné 90 à 80 contre O*.

Au fond, je crois que je n’aspire profondément qu’à une chose : la retraite. Mais elle n’arrivera, au mieux, que dans vingt ans.

 

jeudi, 17 février 2022

17022022 (les mensonges criants d'Engie)

 

273769967_10222714701150043_5599630496425961286_n.jpg

 

 

De la communication pure.

Engie compte sans doute sur le fait que les gens ne savent pas lire, ou que les gens sont nuls en maths.

 

On voit bien avec ce visuel que la multiplication par 2,6 se ferait sur 30 ans, pas en 10 ans.

 

10:54 Publié dans 2022 | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 13 février 2022

13022022 (fantôme)

 

ghost.jpgLe jour des 77 ans de mon père, et la veille de notre retour en France, je me lance, dans le salon donnant sur le vieux bourg de Salthill, à Galway, à la découverte de Joseph O'Connor - si chaudement et souvent recommandé par sa traductrice Carine Chichereau. Des milliards d'autres fers au feu mais on ne peut pas toujours attendre... Le roman tourne autour de la figure, essentielle, de Molly Allgood / Maire O'Neill, actrice qui a notamment créé le personnage de Pegeen dans The Playboy of the Western World mais qui fut aussi le dernier amour de Synge.