vendredi, 12 août 2005
Contradiction
Au moment où ploie la branche,
Où le fardeau s'atténue,
Je porte mon âme nue
Et mon esprit alourdi
Me laissant les coudées franches.
Le silence m'assourdit.
13:56 Publié dans Ecrit(o)ures | Lien permanent | Commentaires (0)
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