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lundi, 31 octobre 2005

Sur son trente-et-un

Au moment où apparaît cette note, que j'écris ce dimanche 30, à six heures du soir mais programme pour demain matin, le dernier nombre à figurer en noir au calendrier verdit de sérénité, et la nuit suivante, à minuit, le calendrier du mois de novembre s'y substituera, alignant une théorie de trente nombres noirs à, inlassablement, reverdir, même en automne, et de sisyphéenne condition.

06:40 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

Tu peux te vanter déjà d'avoir, comme tous les mois, bloggué tous les jours !

Écrit par : Simon | lundi, 31 octobre 2005

Je ne m'en vante pas. C'est tragique, d'être attaché à ce carnet comme à un boulet, de traîner sa graphomanie. Avant de trouver cet engin, cet outil génial et démoniaque qu'est le blog, je me plaignais d'être trop vélléitaire, de ne pas m'astreindre à écrire plus souvent. Maintenant que l'outil est là, je n'en tire rien d'extraordinaire, et ça m'agace.

Écrit par : Guillaumégalo | lundi, 31 octobre 2005

Les commentaires sont fermés.