lundi, 02 janvier 2006
Apollinaire, Don Juan des Flandres
Le pied fleuri de Daphné suit la trace des premiers émois. Ce petit roman n’est pas un roman. Ce libertin ne se repentit pas. Cet autre, là, n’agit pas à rebours. Ces fleurs ne pourrissent pas, car la famille ronfle ses prières.
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Et ce volume de la Pléiade était le seul, avec son compagnon le tome II des proses, à être resté dans la maison de mes parents.
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