jeudi, 26 janvier 2006
Lit 1101
Ne nous méprenons pas. Le texte publié hier dans ce même livre de comptes, ce louvre de contes, ce havre de lave, n’était pas pur jeu d’égotisme. Il est bon, je pense, de lire Le Livre des mines comme un tout. Après l’échec du carnet dédié à l’écriture de fictions interactives, je procède par mélange et alternance. Tous les jours, à l’heure du dîner filial, se publie, toujours programmé à l’avance, un billet qui ajoute son sédiment de phrases au Livre.
Il est, imberbe, défiant les cieux, prêt à livrer, pour chacune des images de son adolescence, un poème en prose. Il reste au lit ; ce lit est à moi.
18:30 Publié dans Le Livre des mines | Lien permanent | Commentaires (0)
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