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mercredi, 08 novembre 2006

Belle tumade coursayre

Tout récemment, il a encore été, abondamment question, de course landaise, d'autant que le film de Sylvie Licard, Coursayres, est aussi un document ethnographique de prime importance, et qui mériterait d'être retranscrit in extenso.

Commentaires

Lorsque l'idée a été émise d'envoyer Sophie, à l'instar du premier évêque de Tours, passer ses vieux jours sur les bords de la Loire, à Candes-Saint-Martin, sans doute pour la raison que le nom du saint protecteur de cette riante bourgade des confins de la Touraine, du Poitou et de l'Anjou a été depuis plus de quinze siècles attribué à maints représentants de la gent plantigrade à fourrure (et peut-être même à quelque parent de la chère et triste occupante de la fosse bétonnée du jardin botanique de Tours), n'a-t-il pas été, alors, non moins abondamment question de l'ourse candaise ?

Ne me dites pas que vous ne l'aviez pas vue venir, celle-là...

Écrit par : Chieuvrou | mercredi, 08 novembre 2006

J'avoue être candide.

Écrit par : Guillaume | jeudi, 09 novembre 2006

Les commentaires sont fermés.