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lundi, 07 janvier 2008

Abattis

[ 5 janvier 2008 : aujourd'hui, le 7, pas une minute.]

 

Ce ne sont pas les nouveaux disques qui manquent ; pourtant, à peine de retour, je replonge dans l’intégrale des enregistrements live de Bill Evans en trio au Village Vanguard, qui m’a accompagné tout l’automne, au soleil comme aux nuages. La version d’Emily enregistrée le 23 août 1968 avec Gomez à la contrebasse et Jack DeJohnette à la batterie me tirerait presque des larmes. A Sleepin’ Bee (13 décembre, avec Marty Morell à la batterie), et je danse la gigue dans le ciel. Je m’amuse du clin d’œil à la Marche turque dans un énième Someday My Prince Will Come (15 septembre, avec John Dentz à la batterie). Curieux, les batteurs de Bill Evans semblent interchangeables, sans personnalité, se fondre dans les harmoniques du leader. (Un compliment pour chacun d’entre eux, je suppose.)

16:39 Publié dans Jazeur méridional | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Jazz

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