lundi, 21 février 2011
Libération de Mutabar Tojibaeva
19 février 2011.
Vice-consul de troisième classe. J'attends, je ne fume pas -- et, mal coiffé, échevelé, tapotant des bribes incohérentes sur ma vieille bécane, je pense qu'il serait terrible de mourir maintenant. Baule n'est pas La Baule ; Courbouzon n'est pas Montbazon (où je vois s'envoler des poules d'eau). J'en ai plein les bottes. Un bourgeois me lance vulgaire "j'en ai plein les bottes". Pourtant, ce ne sont pas les fratries qui m'intéressent. Du ras de ma plume encore je me décoiffe, mais pour quelles aubades, quel manque de classe ou défaut de coffre ? Ah, du panache ! Gilbert Gadoffre compose, chastement ou pas on s'en fout, ses petits chapitres, menus paragraphes, et a peur d'être déjà trépassé. Les lecteurs doivent quitter la rame. Et de quelle façon opérer un départ, entre les uns et les autres ?
16:33 Publié dans Entre Baule et Courbouzon | Lien permanent | Commentaires (0)
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