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mardi, 06 décembre 2011

« Et son âne qui rouspète »

Clic clac clic, clac clic clac clic.

 

Le temps d’emmener les garçons à l’école, de rentrer, d’étendre la lessive, de faire le lit, un peu de rangement, de préparer la table de travail pour la matinée (je dois être à l’Université en tout début d’après-midi), puis de lancer l’ordinateur (et, m’objectera-t-on, de perdre deux minutes à tapoter cette phrase), il est déjà neuf heures.

Un jour où j’évoquais ce genre de contraintes, tout à fait banales mais qui impliquent toute une organisation pour les rendez-vous de travail (ce que les collègues spécialistes du décommandage – du décommandement ? le mot n’existe pas, mais le concept (le fait de décommander) est pourtant symptomatique de notre société – ne semblent ni éprouver ni comprendre), un collègue sans enfants m’a lancé sans rire : Ah mais, toi, grâce aux enfants, tu te lèves tôt tous les jours, donc tu gagnes du temps pour ta journée de travail.

Imparable.

 

Clic clac clic, clac clic clac clic.

Commentaires

Je me souviens des flambées de rage et de désespoir quand on me parlait de "mon temps" (que moi j'avais et pas les autres) sur la SLRC.

Ça se tasse quand le dernier entre au CP (enfin, à condition de ne pas être trop maternant).

Écrit par : Alice | jeudi, 08 décembre 2011

Il y a de quoi s'énerver.

(En fait, il y a eu des moments plus calmes. Vers l'âge de deux ans, Oméga s'occupait plus souvent tout seul, ou avec son frère. Là, il y a plutôt une phase collante. Puis ça se retassera, je sais.)

Écrit par : Guillaume | vendredi, 09 décembre 2011

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