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samedi, 14 janvier 2012

Promenade dans la vase

Cet après-midi, au cours d'une brève promenade dans mon quartier, je me suis aperçu que, dans ma rue, le n° 29 se trouve pile en face du n° 58, alors que, pourtant, le "retard" du côté impair, dû principalement au square en début de rue, semble en grande partie compensé dès le premier virage, où n° 7 et n° 16 se font face. Par ailleurs, j'ai pris conscience que je pouvais faire un tour, au sens strict du terme, en ne quittant jamais le côté pair de la rue Mariotte, puis en revenant par le côté pair de la rue Torricelli... ce que je suis tenté de nommer le "tour sans impair" (d'autant que j'étais vêtu d'une parka). Il est bien bref, c'est son défaut. Ainsi, je lui préfère tout à fait le tour bazardeux par la passerelle, les musiciens, et même le faux parc et le Carrefour Drive.

Plus tard, j'ai lu de brefs récits de Gary Lutz tout en jetant un oeil négligent à Toulouse-Connacht. Quoique les Irlandais arborassent un sponsor doté d'un triple A, Aer Arann, ils sont tout de même repartis avec une petite valise.

Obsolète

Depuis l’annonce officielle de la perte, par la France, de son triple A – décision aussi attendue que ridicule et scandaleuse (ce triple cocktail est assez rare pour être souligné) –, j’ai, dans la tête, la chanson de MC Solaar, Obsolète, qui date de l’époque où Claude M’Barali se fatiguait encore à écrire ses textes, et ce en raison de la périphrase

L’homme qui capte le mike et dont le nom possède le double a


− périphrase susceptible de désigner, ainsi que je le démontrais un jour de novembre 1999 à des étudiants nanterrois atterrés qui, persistant à ne pas comprendre la différence entre paraphrase et périphrase, m’avaient poussé à citer ce même fragment, tant le pseudonyme (Solaar) que le patronyme (M’Barali).

Enfin, à cette époque, déjà, à Nanterre comme à Beauvais, il n’y avait plus de parcmètres, mais des horodateurs, ce qui confirme que le moderne est toujours-déjà dépassé.