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vendredi, 27 janvier 2012

D'un souffle, Éole hausse

Dans la rue, croisant ce colosse

De son noir clébard affublé,

Et me trouvant trop peu râblé

Pour aller, frôlant le molosse,

 

Jouer illico le bolosse,

Je passai mon chemin. « Du blé ! »

Me lance, d’un ton accablé,

Le plouc au teint de spéculosse.

 

Lors, sachez, ce fut féérie

De chevaucher son égérie

 – Car le pitbull à l’âme frêle

 

Lançant sa mâchoire d’ardent

S’entourloupa l’intestin grêle

– Et je m’éloignai, me tordant.