mercredi, 04 juillet 2012
Yelrad, eau comme ouate
Emmanuel dans la fabrique, porte les ciseaux de l’égorgeur, saigne les porcs – c’est déjà l’hiver.
On ne connaît ni Monas ni monade, de sorte qu’entre quatre murs, sans toit ni fenêtre pourtant, on s’enferme, heureux en Dieu pour pas grand-chose, et c’est comme si on avait formé des vœux. Comme si on les avait prononcés. Gardez-vous de la vie… Des vœux, du bout des lèvres pincées.
« Lavage au bock du détatouage. »
Vous ne croyez tout de même pas que – m’enfonçant dans le livre, saucisse au couteau – je vous livrerai mes secrets pénétrants ?
Il tombe des cordes dans la fabrique. Comme dirait Ronsard danseur, je faulx.
18:00 Publié dans Questions, parenthèses, omissions | Lien permanent | Commentaires (0)
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