mardi, 09 octobre 2012
Mèches et traînées
Nadar voyageant en ballon — Zébulon se traînant au radar — bref, c’était encore une affaire de grands vents, mistrals, aquilons. Comme tout cela me rappelle les textes que je claquais frénétiquement à la machine, dans le studio de Talence. En d’autres temps je serais parti en flèche, mais avant de me garder du retour de flamme. Toutefois, déjà, j’égrenais de vains mots, ce dont ne m’a pas guéri le rosaire de Camilo José Cela.
Peu importe le rosaire. Le flacon n’est pas grand-chose, un dimanche sans train.
Aussi les cheveux en broussaille n’ont-ils pas fait de flaques dans le ciel, on s’en consolera.
15:12 Publié dans Un fouillis de vieilles vieilleries | Lien permanent | Commentaires (0)
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