vendredi, 22 mars 2013
Avant un déjeuner au BarJu
J'ai réservé au BarJu
Une table pour deux personnes :
Dans leur décor tu détonnes,
Tout comme un sépia de Franju.
À l'école, les daronnes
Et les pères, sans rogntûdju
À Tours pareil qu'à Fouju,
Te croisent sans faire des tonnes.
Ainsi passe le vendredi
Au soleil, l'après-midi
Venteux d'une promenade
Accompagne chaque regard.
Le soir, thé, whisky, limonade
Te coulent qu'il est bien tard.
11:49 Publié dans Moments de Tours, Sonnets de janvier et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
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