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vendredi, 29 mars 2013

11341 —13020

On a appris hier que le logement d'un de nos deux étudiants «pionniers» sur l'échange avec UKZN à Pietermaritzburg avait été cambriolé dimanche, de sorte qu'il a perdu ordinateur portable, papiers personnels, argent, etc., et, même s'il est rassurant de voir que les collègues, là-bas, considèrent que c'est grave, inacceptable, et se démènent, on ne sait si on trouvera aisément des étudiants pour les années suivantes. (Déjà, ne m'avais-tu pas dit que, cet automne, une jeune fille qui devait aller là-bas, ou en tout cas avait envisagé cela parmi les options possibles, s'était défilée, avait renoncé à cet échange-là suite aux conseils des siens, de sorte que ton collègue disait toujours qu'au moins, là, vous aviez envoyé deux grands gaillards débrouillards, mais il faut croire que minois et mini-jupe ne sont pas les seuls risques... Oui, et quoiqu'on puisse toujours rappeler que plus de 90% de la criminalité en Afrique du Sud a lieu dans les townships, et entre Noirs, chiffre qui, par-delà son caractère rassurant pour les touristes, est d'ailleurs terrible pour ce qu'il dit de la société sud-africaine contemporaine, malgré cela plusieurs personnes lors de notre séjour ont confirmé que des précautions élémentaires sont à prendre, qui-vive général Finalement, ce texte composé de phrases équilatérales pourrait «démarrer» et se muer, si bizarrement soit-ce, en récit par la grâce de ce cambriolage (si j'ose dire (si le pauvre A. lisait ceci, il serait furieux contre moi)) et en venir à l'Afrique du Sud, ce à partir du peu de choses que j'y vis, de l'infiniment peu que j'y vécus, mais on sait que, comme sur les bords de Loire, faconde et imagination font le reste.

15:15 Publié dans 420 * 420 | Lien permanent | Commentaires (0)

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