Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 01 mai 2013

Mi-printemps (?)

En à peine quatre ans, le terrain côté rue s'est beaucoup bosselé. Sous les deux cognassiers en fleur (de belles fleurs roses qui, avec leurs feuilles, semblent promettre mieux que le lourd fruit jaune et lui-même bosselé), plusieurs repousses, comme je l'ai fait remarquer dimanche à Oméga. Certains de ces jeunes cognaissiers ont peut-être deux ans ; ils finiront par ne plus avoir assez de lumière et par s'étioler, certainement.

Hallebardes ce matin, puis ça s'est calmé, avec toujours ce froid. Mauvaises nuits, je suis parvenu (dans Vue d'œil) au début du mois de mai 2012, précisément quand Renaud Camus souligne l'absence de véritable printemps : on se dirige tout droit, si la présente saison est représentative, vers des années à deux saisons : hivers humides plus ou moins rigoureux (8 mois) suivis d'un été de 3-4 mois plutôt instable. Cela fait déjà plusieurs années (dix, au bas mot) que le printemps et l'automne semblent rétrécir (reculer).

À midi dix, toujours une file régulière devant la boulangerie de la rue de Sapaillé — elle ne semble jamais désemplir, au moins le mercredi et les jours fériés, seuls jours où je peux (moi aussi ?) m'y rendre.

Mai ne promet rien de transcendant.

Le muguet n'a pas encore fleuri (quinze jours de retard ?).

Les commentaires sont fermés.