lundi, 15 juillet 2013
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Il paraît qu’Ossages, perché entre ses quelques vieilles demeures, avec son cimetière plus peuplé que le village, je n’y étais jamais allé avant, ou, du moins, c’est ce que me dit vivement mon double, qui n’a cessé de demeurer (et d’écrire) dans les Landes natales.
12:00 Publié dans À neuf les terres inondées | Lien permanent | Commentaires (0)
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