lundi, 23 mars 2015
Après l'infinitude
Un grand soleil, ce lundi soir, et donc après m'être promené, avoir — comme lundi dernier — posé mes fesses en terrasse devant la gare de Tours.
Balthazar, un peu, qui m'ennuie.
Commencé la lecture d'Après la finitude de Quentin Meillassoux. Beaucoup aimé ce début, la pensée de l'ancestralité : voilà un projet compréhensible.
Ma déconcentration pourtant, forte, lorsque deux voisins fraîchement installés ont commencé à comparer les mérites du vodka martini et du picon bière, avant d'enchaîner sur la Fête de la bière et « les potes routiers qui font vraiment chier y en a ils parlent que de camions y en a même qui sont assez cons pour acheter des bavettes avec leur fric faut être con quand même ».
Marché de nouveau.
Puis attendu, comme chaque lundi, après avoir garé la voiture rue des Ursulines (pour une fois), au bas de l'escalier du Conservatoire, qu'en redescendît Oméga.
18:25 Publié dans Ce qui m'advient | Lien permanent | Commentaires (0)
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