lundi, 30 mars 2015
Quentin Meillassoux dans les jardins de l'archevêché
C'est à peu près tout ce qui me restera de cette fin de journée-ci, par un temps rafraîchi, qui ne m'a pas découragé pourtant d'aller lire un moment, vêtu de ma sorte de ciré, poursuivre la lecture d'Après la finitude.
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Je tire une tronche de silène. Pardon : de silure.
Normal, si près d'Amboise. (La professeure taïwanaise prononce “en bois”.)
18:33 Publié dans Ce qui m'advient | Lien permanent | Commentaires (0)
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