jeudi, 20 octobre 2016
Vallée des singes, Romagne
Dans la Vienne, chaque année, souvent à l'automne d'ailleurs, y revenir.
La Vallée des singes, zoo atypique au charme fou, il nous faut tout de même plus d'une heure et demie pour y aller (et pour en revenir). Alpha, certes, qui a désormais quinze ans, ne nous épargnerait pas cette visite annuelle, mais nous n'avons pas trop à nous forcer.
Toujours quelque chose de neuf : hier, par exemple, l'observation des atèles à face rouge dans leur nouveau territoire, ou des varis à ceinture blanche — puis, même le groupe de mandrills joue toujours une pièce de théâtre différente. Nous avons aussi vu, lors du deuxième passage, les bonobos dehors, en quatre groupes différents (la fameuse fission-fusion)... dont un groupe de quatre au faîte des arbres, fort haut.
Notre première visite remonte au 11 juillet 2005, et je n'en avais pas parlé ici. Alpha nous disait hier à table qu'il se rappelait du nourrissage des gorilles (mémorable Yaoundé) et du territoire des saïmiris (à l'époque, il n'y en avait qu'un, il me semble). Entre 2005 et 2011, nous n'y sommes pas retournés, mais, depuis le 11 novembre 2011, c'est comme un pèlerinage — je l'ai dit, Alpha ne nous en ferait pas grâce.
Hier, il y avait beaucoup de Néerlandais, tout un car même.
En 2011, je ne saurais dire, mais nous étions restés deux jours dans le Poitou, en louant une petite maison dans un joli village dont le nom m'échappe. (Je ne retrouve même pas avec les photos ; il faudrait une archéologie informatique plus poussée.)
23:48 Publié dans Blême mêmoire, Hors Touraine | Lien permanent | Commentaires (0)
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