mardi, 31 janvier 2017
D'autres 31 janvier (distiques de 2015)
Bonne raison qu'on est de reposer la chatte
Ce matin qu'elle avut du caca sur la patte.
L'attaque du Bayern il est été fatal
Comme qu'un vol de gerfauts du charnier natal.
On s'a ennui le coach qui tout tout décortique
Si je suis habité sous de vastes portiques.
Gros tacle ma cuisse semble d'un gros méchoui
Que le vierge vivace et le tel aujourd'hui.
Quand joue-je à l'US Boulogne j'avais content
Où qu'on n'a pas sérieux quand on est dix-sept ans.
Le coach m'est dit à moi j'ai un joueur instable
Où que l'espoir luit brin de paille dans l'étable.
On a facile de dribbler et bien kiltran
Où que je suis fait rêve étrange pénétrant.
Comme il est très loupu la passe Adil Rami
Ne suis-je donc vivu que de cette infâmie.
On a dur d'être vu lui tombi dans les pommes :
Pour grand que soit Messi il a ce que l'on sommes.
Comme quand à Marseille mes défenseurs vannés
La valeur n'attendont pas le nombre d'annés.
La grammaire ça n'a pas mon fort mais le sport
Nous nous voisons trois mille au stade le vieux port.
Zahia qu'elle est viendue me pépon la mi-temps
Et le combat s'arrêt faute les combattemps.
Le coach que sur le banc tandis je m'a repose :
« Observe exactement la loi que je t'impose. »
Quand j'a mal à le dos sans football je s'ennuie
Si ç'a pendant l'horreur d'un profonde que nuit.
12:10 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.