mercredi, 21 février 2018
66 secondes de lecture, 42 : macabre vigoureux
On a pris le livre presque par hasard chez le libraire, et c'est un beau texte, en fin de compte, un qui, une fois encore, donne envie d'aller plus loin et de lire d'autres livres de
Léon Werth,
qui ici, donc, trouve à l'adjectif macabre quelque chose de vigoureux. Ce n'est pas du tout mon impression, ma sensation pourrais-je dire.
Est-ce à cause de la présence des chevaux, qui, vifs, se cabrent ?
Toute une rêverie très structurée, à la Leiris, s'ensuit.
Et après, toujours pour ce moment de la guerre : relire La Route des Flandres ? (Giono : Le grand troupeau est sur la pile.)
18:33 Publié dans 66 SECONDES DE LECTURE, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (0)
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