mardi, 26 juin 2018
26 juin 2018
Hier soir, tôt couché, tombant de fatigué, avec Michaux. Ce matin, trop tôt levé, avec les poèmes de Defalvard.
Pourquoi je n'ai plus la force d'écrire vraiment, depuis tant de semaines. Comme un alcoolique dont la main molle lâcherait le godet de plastique.
07:09 Publié dans Amazone, été arlequin | Lien permanent | Commentaires (0)
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