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vendredi, 28 août 2020

... ut nocte silenti fallere custodes...

Hasard providentiel, j’ai été interpellé tout à l’heure, à la déchetterie de la Milletière, par un homme, originaire probablement d’Europe de l’Est, qui m’a dit de surtout ne pas me débarrasser de ma voiture. Il m’a dit que les modèles suivants de la même gamme étaient moins bien, qu’il avait changé la sienne il y a quelques années pour un pick-up, et qu’il s’en mordait les doigts. Je lui ai dit qu’elle avait pas mal de petits accrocs à la carrosserie, mais il m’a dit que ça n’avait aucune importance, que lui en cherchait une de ce même modèle, mais à faible kilométrage.

Il se trouve que, lassés de trouver la bagnole achetée fin 2009 un peu beaucoup bruyante à grande vitesse (c’est-à-dire au-dessus de 100-110) et attribuant cela, outre à ses 215.000 bornes, aux beugnes susdits, nous étions allés hier après-midi, C* et moi, regarder vaguement les occasions chez deux concessionnaires différents, pour en conclure – au vu des tarifs mais aussi des alternatives moins spacieuses qui nous étaient montrées à des prix pourtant pas légers – que nous allions probablement la garder tant qu’elle tiendrait le coup et qu’elle voudrait bien de nous.

 

J’avais passé la matinée à nettoyer et ranger l’atelier, la buanderie mais aussi l’espace godasses (la chausserie ? le meuble à chaussures ? (mais il y a deux meubles…)), tout en écoutant de vieux 33 tours grâce aux baffles nouvellement installés au salon musical, au fond du sous-sol.

 

15:08 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)

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