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lundi, 23 novembre 2020

Et j'aurai failli vivre cela...

Finalement, après avoir tergiversé, je suis resté faire mes cours du jour à la maison, en visio, et non dans le bureau des Tanneurs, comme les lundis précédents. Certes, entre les allées et venues, et d'autre part la présence de la femme de ménage pendant mon cours de l'après-midi, ce n'était pas si pratique que cela, mais cela m'a évité d'aller courir à l'université. De plus, pas très en forme, j'y serais probablement allé en voiture, pas en vélo, donc j'ai doublement bien fait de ne pas bouger.

 

Je suis seulement sorti faire un petit tour à pied vers quatre heures et demie, après deux conversations téléphoniques professionnelles saoulantes. On s'occupe des examens ; rien n'est simple en ce moment. On s'occupe ; il faut s'aérer.

 

J'ai reçu les deux ouvrages envoyés gracieusement par l'éditeur de La Rumeur libre, et j'ai commencé, dès le soir, la lecture du petit essai de Guillaume Métayer qui est une reprise, sans aucune remise en forme, apparemment, de son feuilleton pour la revue en ligne Catastrophes. Il traduit notamment beaucoup de textes hongrois, et aussi une intégrale des poèmes de Nietzsche ; voilà qui a de quoi m'intriguer, bien sûr, mais j'ai déjà ramené de mes précédentes razzias à la B.U. plus de livres que je ne peux en lire.

Bizarre de voir s'afficher, sur la page Web dont je donne le lien ci-dessus, la photo de Métayer, guère changé depuis le printemps 1996, où nous nous sommes trouvés à faire du punting ensemble à Cambridge. (Cette dernière phrase, on dirait un cliché sorti d'un film de Desplechin.)

 

21:10 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)

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