mardi, 02 juillet 2013
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Ce n’était pas une question de patience ou d’effort – il était, tout simplement, bonnement, incapable d’écrire un roman.
08:16 Publié dans À neuf les terres inondées | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 01 juillet 2013
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Désormais, on ne met pas les œufs dans le même panier, dans le même tramway, on prend le bus à seule fin de pianoter sur un smartphone – en 1993, le comble de la modernité, c’était le lancement d’Info Matin, vous n’avez qu’à voir. Ce que l’on échafaude, on ne doit plus le prouver, à quoi bon. Quelques prises de bec remplacent avantageusement la nicotine des notions. Ainsi, et désormais (derechef), une amande grise nage à la surface du verre, gage de l’absolue saleté du café où l’on a ses habitudes.
17:12 Publié dans À neuf les terres inondées | Lien permanent | Commentaires (0)
1er juillet — Tirelipinpon
Un lundi matin où on se réveille, à 5 h 30, aux cris cauchemardeux du fils cadet, et en ayant presque aussitôt dans la tête – et sans aucune raison à cela – Le Tirelipinpon sur le chihuahua, c'est le genre de lundi dont on se dit, non, joker. Et puis finalement, pas vraiment, à midi on peut toutefois s'enorgueillir d'avoir transvasé, dans un dossier personnel créé sur l'ordinateur du bureau 45bis, la quasi totalité des fichiers qui traînaient sur des clés USB et sur l'ordinateur du bureau 44, mais aussi d'avoir fait du rangement, encore, dans ce fameux bureau 45bis, avec force cartons de ramettes rapportés de l'Imprimerie (au sous-sol), et tout cela non sans avoir préparé les délibérations de L1 LEA. En rentrant chez soi, seulement pour le déjeuner, on a même récupéré un présentoir Furby histoire de faire rire les enfants. Il fait très beau, enfin. Donc on peut oublier Carlos.
(D'autant que – je l'écris avant que quiconque ne l'écrive en commentaire – personne n'a la moindre raison d'avoir Le Tirelipinpon sur le chihuahua dans la tête.)
12:08 Publié dans Moments de Tours | Lien permanent | Commentaires (0)