vendredi, 26 août 2005
Parc où rêve un pierrot lunaire
Un moineau dort à ma fenêtre,
Une vitre se désembue.
Je n'ai jamais, à ma vie traître,
Vécu tant toute honte bue.
Où était ce pierrot lunaire?
D'où venait ce piaf amoindri?
Nous entrons, ce jour, dans une ère
Où le regard nous attendrit.
18:23 Publié dans Ecrit(o)ures | Lien permanent | Commentaires (7)
Commentaires
1...
Écrit par : Vrai Parisien | vendredi, 26 août 2005
2...
Écrit par : Vrai Parisien | vendredi, 26 août 2005
3...
Écrit par : Vrai Parisien | vendredi, 26 août 2005
4...
Écrit par : Vrai Parisien | vendredi, 26 août 2005
D'après mes calculs, voici ton 400 ème commentaire.
Si tel est le cas, et même si je me suis trompé, j'en profite pour te faire part de mon plaisir, encore récent, à te lire (le privilège de l'âge m'autorise à te tutoyer, mais la fraternité des blogueurs te permet de m'imiter en retour...). Ta vaste curiosité, qui enrichit une culture diverse, me ravit et m'épate, en même temps que ton enthousiasme constant face à la découverte de la vie et du monde me touche profondément.
Désolé de ce panégyrique, mais un (j'espère) 400ème commentaire valait bien que tu rougisses un peu.
Écrit par : Vrai Parisien | vendredi, 26 août 2005
je m'assocoe au vrai parisien pour te dire que la lecture de ton blog est un plaisir permanent.
Grace à toi, j'ai aussi découvert fuligineuse, et j'adore aussi son écriture.
Écrit par : la jeune divorcée | vendredi, 26 août 2005
Je ne vais pas faire d'autres compliments à ce cher Guillaume, il trouve déjà que je lui en fais trop souvent !
Merci à la Jeune Divorcée de ses aimables paroles.
Écrit par : fuligineuse | samedi, 27 août 2005
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