vendredi, 18 novembre 2005
Catabase
La terre a frotté ses arpions contre la pierre des frelons. La pierre-à-feu, elle aussi, pleure, et je pleure dans ma demeure. Rustre, apaisé, mortel talonné par les bises, le skaï sussurre des promesses, ô carminatif louangeur. Mortel, talonné par les braises, une heure a passé sur ma tête.
Au point du jour, dans un gouffre, nous nous ensevelirons.
14:25 Publié dans Ecrit(o)ures, Moments de Tours, Où sont passées les lumières?, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (0)
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