dimanche, 08 janvier 2006
Vierge ?
Je ne sais si vous lisez ces lignes, que j'envoie comme une bouteille à l'amer : dans mon navigateur, la page d'accueil de mon blog est totalement blanche.
J'essaie de la sorte.
18:53 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (9)
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Un Tourangeau, passant par Dierre,
En voulait à la Terre entière :
Aux jeunes loups de l'UMP,
A la Vierge en fève, trop pé-
Remptoire. Jetez-lui la pierre !
18:04 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (2)
Bagatelles griffonnées...
... qui vont nous changer, par leur platitude, des vivacités de ces jours derniers. (Encore que ces bribes furent griffonnées, hier, au dos de bulletins de vote du syndicat SUD Etudiants...)
Rien n'embaume une maison comme une casserole de compote qui cuit. (Rien n'empuantit comme la cuisson du chou-fleur ou des autres choux. Mais c'est une autre histoire.)
Baudelaire, poète, avant tout, des senteurs.
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Les Grecs, effrayés par la vipère ammodyte,
Eussent craint plus encore une Hera maudite.
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Dictame, nonchaloir, frimas. Mots-clefs des Fleurs du mal ?
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Je veux, d'ici quelques journées,
Comme l'eau frémit sur le gaz,
Un travail longtemps ajourné :
Chroniquer les disques de jazz
[suite manquante]
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Lost in La Mancha : une malédiction ?
16:50 Publié dans Ecrit(o)ures | Lien permanent | Commentaires (1)
Quel vieux vilain temps gris
Quel vieux vilain temps gris, disait l'une de mes arrière-grand-mères - morte en 1986, quand j'avais douze ans - pour l'une de ces journées où les nuages volent bas, et ne volent même pas du tout, restent immobiles, où il pleuviote ou pleut sans discontinuer, où la pluie tombe fade et morne sur les tuiles, les rues, les passants, les herbages, les forêts, devant les yeux.
Réjouissons-nous toutefois ; les nappes phréatiques ont bien besoin de cette pluie, puisque les réserves d'eau sont plus basses encore que l'an dernier à la même époque. Or, on sait de quelle sécheresse nous sortons.
Réjouissons-nous ; c'est l'heure. Une belle expression comme celle que, pluvieuse, m'administra mon arrière-grand-mère, et que nous sommes plusieurs, dans la famille, à faire vivre, avec son allitération, ses trois adjectifs, est propre à réjouir l'esprit et éveiller le souvenir... peut-être sur la route qui mène à Chenonceaux, par La Ville aux Dames et Dierre, ou au retour, par Civray, Amboise et Montlouis.
15:40 Publié dans Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (1)
UMP, deuxième fin
Je vous informe, chers lecteurs, du courrier électronique que m'a envoyé Christophe Michel pour justifier sa censure de mes messages. Le premier incriminé était un développement de quinze lignes sur l'histoire coloniale. Je n'en ai pas, malheureusement, gardé de trace.
C'est ce commentaire que C.M., qui consacre des notes à la sortie prochaine des Bronzés 3, qualifie de "sans intérêt". Cela nous donne une idée du cortex moyen des jeunes responsables de l'UMP..., et tant de leur niveau intellectuel que de leur conscience politique sur des sujets importants !
Je cite donc, sans ajouter de [sic] à chaque faute car ça doublerait la longueur du texte cité :
[Texte du courrier électronique retiré. Voir échange de commentaires ci-dessous, et celui-ci en particulier.]
09:10 Publié dans Flèche inversée vers les carnétoiles | Lien permanent | Commentaires (21)