mercredi, 20 décembre 2006
Erreur sur la personne
Tiens, je voulais publier un autorportrait, et je m'avise que je ne suis en rien dans le viseur.
(Dénoncez-le au proviseur !)
Bref, c'était ----- la Loire, le 8 novembre. Ce matin, je vous l'assure, il fait nettement plus frisquet.
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En écoute : Enrico Pieranunzi, Marc Johnson et Joey Baron. "Quando le donne avevando la coda" (Play Morricone, 2002).
(Qu'est-ce que c'est bien, ça swingue, ça chante, tout en douceur, et les nuits fermentent, au clair des lanternes. Pourtant, j'ai toujours la main droite nettement plus glacée que la gauche. Rappelons-nous les cormorans, et le sentiment qui meurt ne sera qu'un joli souvenir.)
05:50 Publié dans Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Photographie, Jazz
Commentaires
Cher Guillaume, permettez-moi de rectifier le titre du morceau en écoute : il s'agit de la musique du film de Pasquale Festa-Campanile "Quando le donne avevano la coda" (Quand les femmes avaient une queue). Ce chef d'oeuvre impérissable a d'ailleurs été suivi du moins mémorable : "Quando le donne persero la coda" (Quand les femmes perdirent leur queue). Le maestro Morricone, après lecture du scénario, refusa d'en composer la musique, préférant céder sa place au bien moins talentueux Bruno Nicolaï.
Écrit par : Etienne | mercredi, 20 décembre 2006
Si l'on vend la verbe sur blog à ce prix alors il en est bien fini de l'espoir pour l'intellect commun.
Écrit par : Pierre Corneille | mercredi, 20 décembre 2006
Etienne > merci du correctif et de l'information, qui vaut son pesant d'or ! (Mon faible niveau en italien m'avait permis de deviner quelque obscénité, mais sans plus.)
Pierre Corneille > que me bâillez-vous là ? Il est quand même dommage que vous ayez cessé d'écrire en français. Cela dit, vous devez avoir 400 piges, et il n'est pas surprenant que vous soyez un peu gâteux.
Écrit par : GC | mercredi, 20 décembre 2006
Tu as l'air liquide.
Écrit par : Zette | mercredi, 20 décembre 2006
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