vendredi, 11 mai 2007
Maldonne
Tu es têtu, Malamine ; écoute ton père, Malamine...
Dans son boubou blanc, il trouve encore le monde trop compliqué. Trouver mon cadavre en travers de la porte.
Malamine est devenu fou.
Aller frapper à la porte de la muette, mettre la case à feu. Le corps à sang se repose sur des charbons ardents. Vous n'avez qu'à retrousser vos pensées, et que la pierre traverse aussi le fleuve.
C'était le 13 avril, à quatre heures de l'après-midi.
Maudit soit le nom de celle qui fut violée. (Also sprach...)
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... billet qui devait (ap)paraître ce matin à cinq heures, mais le 31, non le 11, avait été (malencontreusement) coché. Pour ne rien dire des diverses mauvaises, bonnes ou tristes mines que je ne cesse de rencontrer, d'origine ou en traduction (mais une traduction est un texte original), depuis que j'ai commencé d'écrire Le Livre des mines, il faudrait s'aligner sur ces zooms avant trop brusques et (dis)paraître de l'écran.
08:46 Publié dans Le Livre des mines | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Fiction, écriture
Commentaires
Merci,
bravo,
continuer.
Pierre
Écrit par : Pierre Estable | vendredi, 11 mai 2007
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