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vendredi, 11 mai 2007

Journées dionysiennes, [9] : ateliers Christofle

Saint- Denis , Hôtel Moderne, huit heures [toujours le 1er mai].

 

Je suis ici depuis à peine cinq minutes et j’ai déjà installé toutes mes affaires, c’est-à-dire pas grand-chose, à la vérité. L’hôtel est modeste, pour user d’une litote ; il est situé près d’un grand carrefour, et, de ma fenêtre, en se penchant, on voit le Stade de France. Il me semble que ce n’est pas très loin d’ici, dans le site étonnant des anciens ateliers Christofle que nous avions vu, C. et moi, « la pièce du Pape », au printemps 1999. (C’était, non par catholicisme soudain, mais par amitié pour l’un des acteurs.)

medium_Journees_dionysiennes_1er_mai_2007_030.jpgJe vais aller dîner, mais aussi me renseigner quant à l’éventualité d’un accès Wi-Fi, sans trop d’illusions sur ce dernier point. J’ai déjà photographié la chambre (c’est-à-dire le lit, la salle de bains, la table de chevet avec les trois livres, mais aussi mon reflet dans la glace qui fait face à la petite tablette où j’écris ces lignes, et l’ordinateur lui-même (qui s’en soucie comme d’une guigne et ne m’a même pas gratifié d’un sourire, l’ordure)).

 

 

Neuf heures vingt-cinq.

De retour à l’hôtel (qui n’offre aucun accès Wi-Fi), après une petite promenade dans le « quartier » et un dîner vite bâclé : pizza aux trois jambons caoutchouteuse avec deux verres d’un vin rouge infâme. L’hôtel se situe à quatre minutes, pas une de plus, de la Maison d’Éducation de la Légion d’Honneur, où se déroulent les séances d’harmonisation des barèmes (mot que, cette fois-ci, pour la première fois de ma vie peut-être et sans l’intervention préalable du correcteur orthographique de Word, j’écris avec un accent grave et non un circonflexe, as is my wont).

19:05 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : Photographie, Hôtels

Commentaires

Vous n'êtes pas assez persévérant, très cher : le vin rouge infame (ou infâme ? Putain, j'ai un mâl âvec ces flêxes, moî !) s'améliore en général nettement à partir de la deuxième bouteille. En plus, vers le mitan d'icelle, on tombe souvent amoureux de la serveuse.

Écrit par : Didier Goux | vendredi, 11 mai 2007

Guillaume est un jeune homme bien, lui.

Écrit par : VS | vendredi, 11 mai 2007

Au risque de décevoir VS, dirai-je surtout que les trois employés de la pizzeria étaient des quinquagénaires maghrébins ?

Écrit par : Guillaume | vendredi, 11 mai 2007

Grossier personnage!

Écrit par : Aurélie | vendredi, 11 mai 2007

(Décidément, il faut organiser une rencontre entre Didier et Aurélie.)

Écrit par : Guillaume | vendredi, 11 mai 2007

Bah, j'ai eu la flemme de rechercher le post où tu parlais pour la première fois de tes déjeuners arosés avant de retourner faire cours...

Donc cette fois-ci j'ai cherché (http://tourainesereine.hautetfort.com/archive/2005/10/12/comment-je-me-suis-senti-revivre.html ), ce qui m'a permis de me souvenir d'une vieille invitation par moi lancée. (Mais maintenant, on se tutoie :-)

Écrit par : VS | vendredi, 11 mai 2007

Les commentaires sont fermés.