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samedi, 15 septembre 2007

Frank Woeste Trio à Montlouis, 14 septembre

En général, ça commence toujours par un peu de lecture (ce qui est tombé sous la main / crépuscule superbe sur les rives de la Loire / puis attente du concert).

Frank Woeste Trio à Montlouis, super position

Ensuite, au "jazz club" de Montlouis, dans l'affreux hangar du Saule Michaud, ça chauffe.

Frank Woeste emmène un trio dont on peut dire qu'il n'est pas d'une folle originalité. Rien à redire aux qualités musicales des trois comparses, ni de leur travail ensemble. Seulement, les compositions du pianiste manquent de mordant, ses lancements au Fender sont plutôt conventionnels, et ça dégaine autrement dès que le trio met Strayhorn ou Monk sur orbite.

Frank Woeste Trio à Montlouis : sul ponticello

Mathias Allamane est parfois étouffé entre deux, problème probable de balance. (Pour ne rien arranger, mon verre de blanc de Montlouis "Cuvée du Festival" s'avère être une horrible piquette, pour parler comme l'autre.)

 

Frank Woeste Trio à Montlouis : cymbales

Matthieu Chazarenc se démultiplie, vrai plaisir de jouer. Un peu trop démonstratif peut-être (il penche assurément plus du côté Max Roach que du côté Kenny Clarke (clin d'oeil à Paul)).

 

Frank Woeste Trio

Saluts après le bis. Rien d'inoubliable. On a retenu Naked Moon, composition de Woeste inspirée par un poème de Ginsberg, et surtout Rare Days (Spare Days ?), piste ou voies à explorer.

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