samedi, 15 septembre 2007
Pas loin de l'échevin gisait un cheval mort...
Just for the record : "des éparvins gonflaient ses jambes hérissées de longs poils" (Théophile Gautier, à en croire le Robert culturel). Le mot ne mérite donc pas de figurer au projet inabouti, presque abandonné, des Mots sans lacune, si ce n'est que son doublon paronymique, épervin, lui, n'est illustré d'aucune citation.
- Au secours ! Mon maître est tombé dans le ravin !
- Qu'est-ce donc ? Son cheval aura des éparvins...
(fragment d'un dialogue oublié d'un dramaturge méconnu)
21:15 Publié dans Mots sans lacune | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Langue française, Ligérienne, écriture
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